Julie Boivin, candidate à la mairie
Après deux mandats comme conseillère municipale à Sainte-Anne-des-Plaines, madame Julie Boivin sera candidate à la mairie dans le cadre des élections de novembre 2021. Élue depuis 2013 sous la bannière du Parti Vision Action, elle travaille d’arrache-pied pour maintenir la qualité de ce milieu de vie et défendre les intérêts de nos citoyens. Elle a d’ailleurs œuvré dans le cadre de nombreux dossiers, dont l’élaboration du plan stratégique 2020-2030, la réalisation de la politique MADA-Famille, la responsabilité des dossiers aînés, etc. en plus de représenter la ville dans des dossiers régionaux comme l’OH Thérèse-De Blainville et le corridor forestier du Grand Coteau et de représenter les élus.es du Québec à la commission de la formation de l’UMQ. Elle occupe aussi le poste du vice-mairesse depuis avril 2017 où elle a solidifié ses compétences.
Lorsqu’on la questionne à savoir pourquoi les gens devraient voter pour elle, sa réponse est immédiate, car outre le fait qu’elle confirme avoir les compétences et l’expérience pour occuper ce poste, elle affirme surtout avoir la volonté de travailler pour sa communauté.
« J’ai choisi de faire de Sainte-Anne-des-Plaines ma ville, ma résidence. Tout me plait ici : la tranquillité, la communauté, le contact facile avec la nature, et encore plus. »
Membre de la communauté anneplainoise depuis presque vingt ans, elle affirme que c’est le milieu de vie parfait pour élever sa famille et vieillir heureux, ce qu’elle a entrepris en compagnie de son conjoint, originaire de Sainte-Anne-des-Plaines, et de ses deux grands garçons de 14 et 17 ans.
Julie Boivin est une femme déterminée et travaillante et ne recule jamais devant un défi. Elle confirme toutefois qu’elle a bien réfléchi avant de présenter sa candidature à la mairie. Elle avait quatre conditions en tête qui devaient être respectées avant de poser sa candidature : le soutien de sa famille, la formation d’une équipe solide, l’appui des membres du Parti Vision Action et bien évidemment le soutien de la population.
« J’ai eu le soutien de ma famille, j’ai formé une équipe forte de candidats.es et j’ai été nommée cheffe en octobre 2020. »
Ainsi, les trois premières conditions ont été comblées. À la dernière condition, soit celle de l’élection du 7 novembre prochain, madame Boivin se dit confiante et privilégiée d’avoir autant de support dans la communauté.